Il y a un an je préparais un ossobuco. Aujourd’hui je l’ai refait et comme la dernière fois il y a fiston et son amie. Si vous avez bonne mémoire leurs deux prénoms réunis est le titre d’un film romantique; qu’ils n’ont toujours pas vu!!!
J’exporte de mon ancien blog (il n’est plus en ligne) le billet sur cette recette (dommage les commentaires ne suivront pas). J’ai pensé que cette recette pouvait intéresser des gens.
Surtout n’oubliez pas le secret est dans la gremolata.
Salut tout le monde. Il fait froid chez vous? Oui? Alors c’est le moment de préparer des petits plats qui mijotent longuement sur le feu.
L’osso buco et moi, c’est une grande histoire d’amour. J’ai appris à le faire en Italie où j’avais suivi mon amoureux. (C’eravamo tanto amati) ♥
Et en Italie on ne plaisante pas avec la nourriture et avec la mamma non plus!
Je n’avais pas défait les valises que la mamma me demandait de préparer un plat.
Grosse panique l’impression de tomber la tête la première dans le feu. A cette époque je savais tout juste ouvrir les boîtes et encore!
Si j’avais pu disparaître dans une faille spatio temporelle… J’ai bien tenté le « non… vraiment…n’insistez pas » ça n’a pas marché. Lorsque mon plat est arrivé sur la table, j’ai lu dans leurs yeux l’incrédulité « Ma figlio dove ti ha trovato questa ragazza? » (mais fiston où t’as trouvé cette fille?)
Par la suite ils m’ont fait promettre de ne jamais recommencer ce truc.
Alors pour apprendre j’ai pris le temps de les regarder. Ouais…pas facile.
Depuis j’ai changé d’amoureux (mais toujours le genre ténébreux), je suis devenue experte dans l’ossobuco et ça tombe bien car Syl nous a proposé cette recette.
Dans la vie il y a des choses magiques et d’autres qui laissent un goût amer. Ce n’est pas l’ossobuco
L’ossobuco (l’os avec un trou) est un mets très ancien. Il existe deux versions, « la rouge » qui se prépare avec des tomates, et la mythique blanche, plus ancienne, sans tomate. C’est cette version que j’ai choisie L’ossobuco doit mijoter lentement pour donner le meilleur de lui-même. la gremolata est le secret de ce plat. C’est une très belle invention italienne. Elle laisse un parfum incroyable et donne du peps.
Ingrédients (pour 4)
(devinez quelle série j’adore, mais pas de spoil, je ne l’ai pas encore finie!!, c’est ma grande qui m’a offert cette planche à découper))
( Une petite confidence, mon fils s’appelle César, et aujourd’hui pour partager ce repas il était avec sa petite amie. Devinez comment elle s’appelle. Difficile de faire mieux.)
Allons voir chez les amies ce qu’elles ont fait de bon: Sandrion, Nahe, Syl
Bises parfumées à la gremolata.
Tu sais que je l’ai fait ton plat ? Et que c’était un régal ! Je le referai bien pour mes parents.
Tu fais bien de nous le remettre en mémoire !
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Oui je me souviens, Sandrion aussi. Et peut être bien Asphodèle. J’adore cette préparation, ici aussi il a toujours du succès.
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C’est juste, je me souviens : la gremolata et ta planche à découper ;o) Par contre, je n’ai toujours pas testé…
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Ah la planche vient tout droit des États Unis et je ne connais toujours pas la fin de la série 🙂 Si tu dois préparer un osso bucco un jour le blanc (celui ci) est bien mieux que le rouge à base de tomates. Enfin c’est mon avis.
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Que ce soit clair, Louise : c’est THE plat, je l’ai fait au moins 3 fois depuis ta recette et c’est devenu un incontournable ici, je suis ravie que tu l’aies remise cette recette !!
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Oh be n ça alors je suis contente 🙂
Mais c’est vrai qu’il est bon.
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Quel travail l’ossobuco…mais je passe mon tour !
Par contre le cake ultime, miam, c’est très à la mode, tout le monde le fait et je gouterais bien le tien !
Bises.
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Passer ton tour à un tel ossobucco, c’est une grave erreur; mais il en restera plus pour les autres!
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Mais je reprendrai 2 fois du cake du coup… 😀
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Bon t’es un sale gosse, mais je te laisserai faire car je suis faible et je t’aime bien. 🙂
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Tu sais quels billets j’aimerais que tu mettes en ligne ? Celui des boulettes à la bière irlandaise et les escalopes de poulet au gouda et aux brocolis. Ou alors tu peux les envoyer par mail ? Ce sont des recettes que l’on a adoré (les escalopes on se rappelle à peu près puisqu’on les a fait plusieurs fois mais pour les boulettes pas du tout ;0)
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Je n’ai pas refait les boulettes à la bière, et les escalopes brocolis une seule fois. Il est possible que je les remette sur ce blog, un jour. Mais je ne sais pas quand, je vais te les envoyer par mail 🙂
Je remettrai aussi les petits lapins et les tulipes à croquer car c’est joli et ça plait beaucoup aux enfants et aux grands aussi 🙂
Bises
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Je vais en profiter pour changer le lien sur cette recette là ;0) Bisous, belle semaine
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Un des nombreux délices qui me font aimer l’Italie !
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L’Italie, j’y retournerais bien…
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Bonjour les lectrices gastronomes ! 🙂
Si l’aventure vous tente, Maurine organise un challenge plutôt sympathique en 2016. C’est par ici : http://www.lecarnetdemaurine.com/2015/12/challengeliremanger-savourons-ensemble.html
Arrivederci!
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Bonjour Marion, je vais aller voir Le carnet de Maurine. Avec les copinautes nous nous retrouvons les dimanches pour partager nos recettes et nos délires. Il nous arrive aussi d’échanger des « romans gourmands ». Sur ce nouveau blog j’ai fait une catégorie littérature gourmande, et avec l’article Quarante jours d’automne je suis en plein dans le thème de ton amie. 🙂
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